Horloges à double cadran
Elles sont présentes sous l’entrée de la salle Esclangon à l’Observatoire de Paris.
La double pendule Esclangon à trois cadrans assure, à partir d’un balancier unique et régulé, l’entraînement d’une horloge sidérale battant la seconde. Une deuxième horloge indique le temps solaire moyen. Mécaniquement asservie à l’horloge sidérale, elle hérite de sa précision et de sa régularité. Un troisième cadran, à marche rétrograde, permet d’obtenir le dixième de seconde lors de la lecture des secondes de temps moyen.
Bibliographie
- Esclangon E. (1921), »Sur une pendule astronomique donnant simultanément le temps sidéral et le temps moyen.», Bull. Soc. Astr. Fr., 25, 168-170.
- Esclangon E. (1919), »Sur la transformation mécanique du temps sidéral en temps moyen.», C. Rendus Acad. Sc., 169, 231-232.
- Baillaud R. (1936), »Système de deux pendules Brillié asservies en temps moyen et temps sidéral.», Ann. Fr. Chronom., 6, 251-255.
- Bouasse H. (1920), Pendule spiral, Diapason. Bibliothèque scientifique de l’ingénieur et du physicien., Paris : ed. Delagrave.
- Esclangon E. (1935), »Sur une horloge portant indication simultanée du temps moyen et du temps sidéral.», Bull. Soc. Astr. Fr., 49, 215-217.
- Hope-Jones F. (1937), «Horloge indiquant simultanément le temps moyen et le temps sidéral.», Ann. Fr. Chronom., 7, 183-191.
Horloges à double cadran
Elles sont présentes sous l’entrée de la salle Esclangon à l’Observatoire de Paris.
La double pendule Esclangon à trois cadrans assure, à partir d’un balancier unique et régulé, l’entraînement d’une horloge sidérale battant la seconde. Une deuxième horloge indique le temps solaire moyen. Mécaniquement asservie à l’horloge sidérale, elle hérite de sa...